Dans une ambiance conviviale, Olaf Scholz, le dynamique Chancelier allemand, a lancé un appel vibrant lors d’une réunion à Berlin, invitant l’Europe à se retrousser les manches pour achever son grand projet d’union bancaire et des marchés de capitaux. « C’est maintenant ou jamais », semble-t-il dire, en mettant l’accent sur l’immense potentiel d’une Europe unie pour tenir tête aux géants économiques que sont les États-Unis et la Chine.
Vision d’une Europe Unie
Lors de cette rencontre, qui a rassemblé des délégués européens du parti des sociaux-démocrates (SPD), Scholz a partagé sa vision d’une Europe où les barrières financières n’existeraient plus, permettant ainsi aux entreprises du continent de s’épanouir pleinement. « Imaginez une Europe sans frontières financières, une véritable force économique mondiale », a-t-il lancé, captivant son auditoire.
L’Importance de l’Union Financière
Mais pourquoi donc cette union est-elle si cruciale, vous demandez-vous ? Eh bien, selon Scholz, notre marché unique est comme un puzzle inachevé, surtout en matière financière. Avec plus de 400 millions d’habitants, l’UE a tout pour être une superpuissance économique, mais il lui manque une pièce maîtresse : une union bancaire et des marchés de capitaux pleinement fonctionnelle.
L’Appel à l’Action
Depuis 2015, l’idée d’un marché unique des capitaux est sur la table, mais les progrès se font attendre. Scholz, avec son enthousiasme contagieux, espère insuffler une nouvelle énergie dans ce projet. « Il est temps de donner à nos entreprises européennes les ailes dont elles ont besoin pour s’envoler », a-t-il déclaré avec conviction.
Proposition de Réforme Fiscale
Mais Scholz ne s’arrête pas là. Il propose également une réforme audacieuse : un taux d’imposition minimum de 15% pour les entreprises dans tous les pays de l’UE. « Cela pourrait-il être la clé pour que notre union bancaire et des marchés de capitaux fonctionne enfin comme il se doit ? », s’interroge-t-il. L’idée est de créer un terrain de jeu équitable pour toutes les entreprises et d’éviter que les banques ne s’installent dans des pays à faible imposition, laissant le reste de l’Europe régler l’addition en cas de problème.
Appel à l’Unité
La fin de l’année a vu les dirigeants des institutions de l’UE unir leurs voix pour un appel commun : renforcer l’euro et avancer vers une union des marchés de capitaux. Scholz, avec son appel passionné, espère rallier les Européens autour de cette vision ambitieuse. Seul l’avenir nous dira si cet élan pour une Europe plus intégrée et économiquement puissante portera ses fruits.